Faire du culturel un allié stratégique : comment le chef numérique peut-il apprivoiser l’adoption culturelle ?
Je vous vois venir. Vous pensez sûrement que je vais vous resservir un plat réchauffé sur l’importance de la culture en transformation numérique. Pas du tout ! Aujourd'hui, nous allons découvrir comment apprivoiser l'adoption culturelle et en faire un véritable allié stratégique. Prêt pour l'aventure ? Alors, attachons nos ceintures et c'est parti !
Comprendre les résistances pour mieux les appréhender
« J’aime pas le changement ! » Combien de fois avez-vous entendu cette phrase ? En matière de transformation numérique, l’aspect culturel peut représenter un véritable frein. Mais ne vous découragez pas, on a une solution. Plutôt que de vous acharner à changer les mentalités, essayez de comprendre la source des résistances. C'est comme essayer de convaincre un lion de devenir végétarien - bonne chance avec ça !
Adopter une posture d’accompagnateur
Arrêtez de jouer les chefs d’orchestre, prenez plutôt le rôle de l’accompagnateur. Comme le dit si bien François Cheng : “Le vrai voyageur ne sait pas où il va”. Allez, décollons ensemble vers l’inconnu ! Guidez vos équipes vers la transformation numérique sans imposer un plan strict. L'idée, c'est d'instaurer un dialogue, pas de faire du monologue. Après tout, la transformation numérique, c'est comme faire du vélo, ça s'apprend mieux à deux.
Favoriser l'innovation participative
Faites de vos collaborateurs les acteurs de la transformation numérique. Impliquez-les dans les projets, faites-les participer à l’innovation. N’oubliez pas, vous travaillez avec des adultes et non avec des enfants. Il est temps de lâcher la main et de les laisser faire du vélo sans petite roue !
Conclusion
Comme vous l’avez compris, l’adoption culturelle ne se décrète pas, elle se construit. Alors, arrêtez de jouer aux chefs tyranniques et mettez-vous en mode accompagnateur. Vous verrez, le voyage sera bien plus agréable. Et souvenez-vous, même en transformation numérique, la culture ne se mange pas avec des cuillères. Sur ce, je vous laisse, j’ai un lion à convertir au végétarisme !